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mercredi 8 janvier 2014

Un Pentaphylla en culture depuis 2009 (Il est à vendre)

Cet arbre provient de la pépinière de Maître Kenichi ABE au japon.

Voir ici pour mémoire lorsqu'il était encore au japon :

Pour info, visite de leur jardin en images :




Il a été préalablement cultivé au japon en pleine terre à partir de semis durant une quarantaine d’année.
La production de la famille ABE donne des arbres aux caractères aussi forts que des Yamadori alors qu’ils sont cultivés en plein champs.

C’est grâce à la visite d’un ami chez les ABE, qu’en 2009 cette merveille atterri directement chez moi.
Il est arrivé en motte brut. Le premier travail a consisté par l’acclimater, pour assurer la reprise.
















Voici un exemple de Pentaphylla en pleine maturité cultivé par la famille Abe. (image Gérôme Cologne)

Il pourrait être une source d’inspiration pour l'avenir de cet arbre


Cet arbre est à vendre

Hauteur : +/- 60 cm
Nébari : +/- 20 cm


Vidéo du jardin de M. Abe


samedi 20 novembre 2010

Juniperus Squamata : 2ème mise en forme

On dit que les chats ont 7 vies.
Les arbres je ne sais pas, mais ce Junipérus quand à lui, démarre sa 3ème vie avec un nouveau look graphique.




L’origine de cet arbre, est la rencontre en 2005, dans un village de montagne, d’une série de jardinières urbaines avec des Juniperus Squamata d’environs 1 m de haut.

Ces arbres poussaient librement sans aucuns soins depuis au moins 35 à 40 ans.

Le propriétaire de ces bacs, a volontiers accepté que nous lui en débarrassions.
En échange de quoi nous lui avons garnie de nouveau ses jardinières avec de jeunes arbres.


Le premier travail exécuté sur ce Junipérus a été fait en 2007, lors d’un atelier chez Pius Noter.




Pendant les 3 années qui ont suivies, après avoir ôté les fils de ligature, j’ai laissé l’arbre pousser librement.

La forme en double tronc ne me plaisait pas vraiment sur cet arbre. J’ai décidé en 2008 de couper le tronc fils, et d’imaginer un projet radicalement nouveau avec 1 seul tronc.


Voici la nouvelle mise en forme, réalisé avec l’unique branche que j’ai conservée.
Les vestiges du « Tronc Fils » ont été à nouveau raccourcis.

Hauteur actuel de l’arbre : +/- 65 cm, nébari : +/- 25 cm

Prochaine étape : démarrer le travail de réduction de la motte et lui offrir un pot plus petit.

vendredi 19 novembre 2010

Epicéa : 2ème mise en forme

Le démarrage de l’histoire de cet arbre est à revoir ici : « Projet pour un épicéa sans caractère »

Après 2 ans de culture supplémentaire, une nouvelle mise en forme s’est avèrée nécessaire.

Nous le savons bien, l’épicéa a un bois très souple, presque élastique.

Cela permet des torsions de branches assez sévères avec peu de risque de casse.

La mise en forme de ce genre d’arbre, est alors simplifiée par l’immense possibilité qu’offre la souplesse de ses branches.

Mais cet avantage à un inconvenant : Après avoir ôté les fils de ligature, l’élasticité de ses fibres provoque une reprise rapide de la forme d’origine .

C’est ce que j’appelle "un arbre à mémoire de forme". Il à du mal à changer d’habitudes.
Il faut donc l’éduquer régulièrement.

C’est un peu comme mes filles, je dois leur expliquer souvent où mettre les choses à leurs places, pour qu’elles finissent par intégrer l’information.
Elles, elles sont plutôt "à mémoire de désordre ".

Donc les fils de ligature sont restés 1 an. L’arbre a poussé librement 1 an encore ; et le moment est venu (Après un rempotage ce printemps) de lui rappeler l’information reçu en 2008.

Je profite alors de le reconstruire avec une petite variante dans la forme générale.


Ici en Automne 2008


Ici au primptemps 2010
Ici à l'automne 2010 avant la nouvelle mise en forme. L'arbre est vigoureux.

Ici Novembre 2010 : 2ème mise en forme

jeudi 18 novembre 2010

Epicéa 2 troncs : Première mise en forme

Cet arbre était caché dans un coin de ma collection.
Pas vraiment inspiré je l’ai laissé pousser librement quelques années.

J’espérais l’orienter vers quelque chose de plutôt graphique. Je me creusais la tète pour tenter de lui faire exprimer quelque chose de particulier.

Finalement c’est l’arbre qui à décidé. Et c’est vers une mise en forme très classique que je me suis orienté.

Prélevé en 2005 dans un alpage de montagne vers 1800 m d’altitude.
Je l’ai laissé en pot de culture jusqu’an 2008.

Premier rempotage au printemps 2008 dans un Mica pot.
Une sélection de branches et en 2009.

Sa toute première mise en forme, a été réalisée le 6 novembre 2010 lors d’un atelier avec mes camarades du club.







Prochaine étape lui offrir un pot plus adapté.

lundi 17 mai 2010

Nouveau pot pour un pin mugo en forme cascade

Que pensez-vous de ce nouveau pot… ?

Non il ne s’agit pas d’un sondage. En réalité je ne vous demande même pas votre avis.

Je me garderais bien de demander si quelqu’un à une autre idée… la dernière fois que je l’ai fait ça ma couté un bras… (Merci Jean-Paul… !)

Sur les conseils de Jean Paul Polmans, (Voir ICI) l’arbre a été transpoté* dans un nouveau pot. (*On change le pot sans intervention sur les racines. ndlr)

Jean Paul trouvait l’arbre plutôt « Féminin » et d’après lui le précedent pot (Le carré gris) l’alourdisait visuellement. Il l’avait comparé à un Panzer Allemand. (Char d’assaut)

Si je résume sa pensé, c’est comme regarder danser une ballerine avec des chaussures de ski…

Bref, puisque je suis un garçon influençable, j’ai choisi de mener l’expérience jusqu’au bout.

J'ai fais confiance à Jean Paul, en faisant réaliser sur mesure un pot aux formes conseillées.

Ce nouveau pot, plus « féminin », à été réalisé spécialement pour cet arbre par le potier anglais John Pitt .

"Tu crois qu'il les "brade Pitt" ses « Joly » pots...?"

Cliquez ici pour découvrir l’évolution complète de cet arbre.

Evolution d’un Pin Mugo Cascade (en culture Bonsaï depuis 1993)

Ce pin a été prélevé en Haute Savoie dans les années 80. J'ai débuté le travail en 1993.

Cet article montre la très lente progression de l’amateur autodidacte que je suis.

Je m’amuse en regardant ces images de constater les « cascades » d’erreurs commises lors de mes premières interventions sur cet arbre.

On peu ainsi mesurer 2 choses. :
Le chemin parcouru de puis 1993, et la lente prise de conscience des différentes erreurs.

On pourra également évaluer la route qu’il reste encore à accomplir pour obtenir un bonsaï digne de ce nom.
J’envie l’amateur qui débute aujourd’hui, car on trouve maintenant en Europe des artistes formateurs de grande qualité. Cela permet de passer beaucoup plus rapidement les niveaux d’expérience.
Voici en image l'évolution du travail :

Première Photo prise en 1993

Première mise en forme. Je deside de l'incliner et le travailler en forme semi cascade.





Mise en pot de culture.Deuxième rempotage en 1996.


2004 l'arbre a pourssé vigoureusement. C'est la 2ème mise en forme.


En 2005, une nouvelle évolution.

La forme de l'arbre sera orientée en Cascade plutôt que Semi Cascade.



Ici en Aout 2008

Ici en avril 2009 avec son nouveau pot


Ici en Octobre 2009 après une légère taille et une ligature des branches secondaires.




En 2010, sur les conseils de Jean Paul Polmans, (Voir ICI) l’arbre est transporté* dans un nouveau pot. (*On change le pot sans intervention sur les racines.)

Jean Paul trouvait l’arbre plutôt « Féminin » et d’après lui le pot carré gris l’alourdi visuellement. Il l’avait comparé à un Panzer Allemand. (Char d’assaut)

Si je résume sa pensé, c’est comme regarder danser une ballerine avec des chaussures de montagne…

Bref, puisque je suis un garçon influençable, j’ai choisi de mener l’expérience jusqu’au bout.

Je fis confiance à Jean Paul, en faisant réaliser sur mesure un pot aux formes conseillées.

Ce nouveau pot, plus « féminin », à été réalisé spécialement pour cet arbre par le potier anglais John Pitt .

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