Pourquoi ? … Hé bien parce que j’ai radicalement transformé la forêt d’une autre personne.
Cette composition d’érables (Acer palmatum HAMANO MARU pour les intimes initiés) a préalablement été cultivée par un autre camarade Psychopathe Arboricole.
Il l’a laissé quelques années librement pousser, sans vraiment rechercher à ramifier, mais plutôt pour faire grossir les troncs.
Les mauvaises langues diront qu’il l’a lâchement négligée.
Moi je dis juste que je suis ravi de l’avoir récupéré gratuitement, pour me lancer un nouveau chalenge.
Et comme le dit toujours mon beau frère : « A cheval donné, on ne regarde pas les dents !… »
En langage Bonsaïka on dira : « A yamadori gratuit, on ne regarde pas le nébari !… »
Juste une parenthèse : (Avec ma fille de 13 ans, l’expression : « A Converse All Star offertent, on ne regarde pas la couleur !... »… Ne marche pas…)
Voici en image comment en 3 ans, on passe d’une forêt à l’autre.
Première image en mai 2006.
Le « Cheval » mesure +/- 110 x 90 cm
Une première taille s’impose immédiatement.
Pas trop sévères tout de même car les entres nœuds sont très long.
Pas trop sévères tout de même car les entres nœuds sont très long.
Je décide de la prendre en mains au printemps suivant. (mars 2007)
La taille à provoquée de nombreux bougeons arrières.
La taille à provoquée de nombreux bougeons arrières.
Je vais séparer chaque arbre individuellement de la motte pour reconstruire une nouvelle plantation.
La plantation va s’effectuer sur une ardoise de la région.
Pour fixer individuellement chaque arbre, je construis un « treillis » de bambou, en appliquant à la lettre la technique que m’avait justement communiquée en son temps, celui qui m’a offert ces arbres.
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