Je me souviens encore de ce que je disais à Michel lors de
ma première visite chez lui.
Ce fût la promesse de revenir le voir aussi souvent que
possible.
Le plaisir de se retrouver autour d’un Pastis en évoquant le
monde du bonsaï, n’a pas d’équivalent en cette mi juillet ; date qui clôturait
nos vacances.
Mais un Pastis en appelant toujours un autre, en suivant Michel
vous avez des chances de ne plus avoir envie de reparti…
Quelques images de ses pins sylvestres (entre autres)
Belles photos.
RépondreSupprimerPour en arriver là un bonsaï doit se transmettre de génération en génération...
Les japonais ont intégré cette « transmission du végétal » depuis des centaines d’années.
RépondreSupprimerChez nous en Europe (première génération d’amateurs oblige) la question commence tous juste à se poser.
Effectivement, nous ne sommes jamais le propriétaire définitif d’un bonsaï, mais juste un intermédiaire voire un intérimaire dédié un instant à son développement.
Simplement parce que le temps animal n’est pas celui du végétal, un bonsaï est un arbre, et par définition, il est sensé nous survivre.